Nos thérapies reposent sur la confiance qui unit le patient au thérapeute.
Après avoir identifié les causes du trouble, le thérapeute détermine les objectifs de la thérapie. la situation du consultant et ses caractéristiques personnelles détermineront le type de traitement
à mettre en œuvre.
Psychothérapie multi-réferencielle (relie différentes méthodes)
et intégrative et humaniste (intègre la personnalité du consultant et lui permet d'assimiler et d'harmoniser son “moi”. Elle repose sur 4 fondements :
et centrée sur la personne (Amener le consultant à intégrer pleinement ses potentialités humaines, dans un climat lui permettant cette réalisation. L’accent est mis sur le consultant et le processus relationnel et non sur un symptôme. Pour créer ce climat, le psychothérapeute s’efforce à réaliser les 3 conditions suivantes essentielles :
Ce type d'objectif, global par définition, repose non seulement sur la collaboration du patient mais aussi sur celle de professionnels et de spécialistes d'autres disciplines.
Ce type de thérapie met l'accent sur les symptômes et les problèmes du patient. Certains modèles de pensée influent de manière négative sur les croyances, les émotions et le comportement et c'est en les restructurant qu'il est possible d'améliorer la situation du patient et d'éviter toute rechute.
Ces thérapies ont pour particularité de s'attaquer au(x) problème(s) du patient par des exercices pratiques.
Thérapie holistique est une expression de la médecine non conventionnelle qui désigne une méthode fondée sur la notion d'une "globalité de l'être" : physique, émotionnel, mental et spirituel.
Cette thérapie utilise des méthodes psychothérapeutiques verbales auxquelles s'ajoutent généralement des séances de catharsis émotionnelle (l'hypnose Ericksonienne) des techniques dites "d'ancrage énergétique", de "respiration consciente", ou l'art-thérapie, un "travail sur les croyances", la "reconnexion à l'âme", etc.
Le terme de médecine non conventionnelle recouvre un grand nombre d'approches ou de méthodes thérapeutiques.
Il est celui retenu par la Commission européenne de Bruxelles pour regrouper les appellations diverses telles que médecine traditionnelle, médecine douce, médecine complémentaire, médecine naturelle, médecine alternative, médecine parallèle, médecine holistique, etc.
Les thérapies cognitivo-comportementales (TCC) sont l'application de la psychologie scientifique à la thérapie de certains troubles déterminés par cette approche particulière de la psychologie.
Selon cette approche, la thérapeutique doit s'appuyer sur une méthodologie expérimentale et contraignante afin de comprendre et de traiter les troubles psychologiques (phobies, addictions, psychoses, dépressions, troubles anxieux…).
La thérapie comportementale et une méthode visant à aider le patient à identifier et à modifier des formes de pensée et de comportement qui lui nuisent.
Skinner fut l'un des précurseurs de ce mouvement. Au cours de ces dernières années, l'altération du comportement a fait l'objet de nombreuses études de la part de la communauté scientifique.
La technique d' Intégration par les mouvements oculaires, en anglais, Eye Movement Integration) est également utilisée pour traiter les états de stress post-traumatiques.
Elle présente certaines ressemblances avec l'EMDR : L' IMO fait également appel à des mouvements oculaires et elle est bien souvent efficace en peu de séances.
C'est une thérapie issue de la PNL et des travaux de Robert Dilts sur les mouvements oculaires en tant que « clés d'accès » aux informations.
L'EMDR signifie Eye Movement Desensitization and Reprocessing, que l'on peut traduire par " Retraitement et Désensibilisation par Mouvement Oculaire ", c’est une technique psychothérapique conçue à la fin des années 1980, en Californie, par Francine Shapiro.
Cette technique a été récemment popularisée dans les pays francophones par le professeur David Servan-Schreiber, auteur du best-seller « Guérir » dans lequel il décrit la technique.
Les psychothérapies cognitivo-comportementales (ou thérapies cognitivo-comportementales, TCC) regroupent un ensemble de traitements des troubles psychiatriques (notamment phobies, addictions, psychoses1, dépressions et troubles anxieux) qui partagent une approche selon laquelle la thérapeutique doit être basée sur les connaissances issues de la psychologie scientifique et obéir à des protocoles relativement standardisés dont la validité est dite basée sur la preuve. Les TCC ont pour particularité de s'attaquer aux difficultés du patient dans « l'ici et maintenant » par des exercices pratiques centrés sur les symptômes observables au travers du comportementet par l'accompagnement par le thérapeute qui vise à intervenir sur les processus mentaux dits aussi processus cognitifs, conscients ou non, considérés comme à l'origine des émotions et de leurs désordres. La standardisation de la pratique des TCC a contribué à la reconnaissance de leur efficacité par leur caractère reproductible qui est une des exigences de la démarche scientifique.
Dans l'histoire de la psychologie clinique, les courants dits comportementalistes (visant d'abord à intervenir sur le comportement) et cognitifs (cherchant à intervenir sur les croyances, les représentations, et leurs processus de construction) sont apparus parallèlement au milieu du XXe siècle, parfois en compétition l'un avec l'autre. Ils différent de la psychanalyse qui se focalise sur les processus internes inconscients en sollicitant des vécus anciens. Depuis les années 1980, ce clivage historique entre comportementalisme et cognitivisme tend à disparaître dans la pratique thérapeutique.
Compilation et historique réalisés par Dominique Monette
Si ces deux méthodes appartiennent à la même famille, on pourrait dire que ce qui les différencie au départ c’est, d’une part, le test musculaire appliqué systématiquement en Kinésiologie et plus rarement en Psychologie Energétique, et d’autre part, le fait que la Kinésiologie a au début attiré plutôt les personnes passionnées de développement personnel et de gestion de la santé, alors que la Psychologie Energétique a, à l’origine, intéressé surtout ceux qui travaillaient dans le domaine de la santé mentale.